14 novembre 2012 : l'éclatement des croyances

 

 

Bonsoir Benoît. Je suis prête.

 

« OK, maman. Moi aussi, ça tombe bien !

Je vous ai bien baratiné hier avec l’Amour, et mes questions ! Combien ont répondu ? Là est la question ! Vous vous répondrez lorsque vous serez prêts.

Aujourd’hui je ne vais pas y aller par quatre chemins, aussi. Direct, le Beun ! Je veux vous « réveiller » ! OK ? C’est pas compliqué tout de même ! Vous allez enlever une par une toutes ces croyances qui vous compliquent la vie et votre existence. Quelles croyances ? J’entends déjà votre question ! Et comment faire ? Alors que je vous ai déjà dit l’essentiel ! Mais je suis patient, et je vous comprends. Je suis passé par là moi aussi, je me souviens très bien comment j’étais et comment je réagissais lorsque je vivais avec vous, visible. On veut y croire, mais on se sent incapable de s’abandonner à ce qu’on ressent de réel, vrai. Il y a l’excitation de la connaissance et la peur d’y aller. Je sais tout ça. C’est pour cela que je suis patient et que je vous redis les mêmes choses mais d’une autre façon.

 

Première croyance : la mort, entre autre, la mienne. Le cerveau biologique s’éteint, le corps ne bat plus, ne bouge plus. Les yeux restent hermétiquement clos, les paroles ne sortent plus de la bouche. Niet ! Y a plus rien, que la mort. Alors comment ne pas y croire ? Elle est là bien en évidence, avec toute la douleur qu’elle apporte aux proches. Et bien, la mort est superficielle, juste en surface. C’est la première forme de la pensée qui s’éteint, et la première croyance pour celui ou celle qui meurt. Si la mort reste bien évidente pour les « vivants », la croyance en son existence s’éteint lorsqu’on passe de l’autre côté ! Première croyance qui s’éteint à tout jamais !

 

Deuxième croyance : que ce monde bien tangible, bien sonore, et bien chaotique est le seul monde qui existe. A part les extra-terrestres ! Vos yeux et vos sens ne perçoivent que sa matière, que sa lumière. Donc, normal qu’il n’existe que lui ! Deuxième croyance qui en prend un coup lorsqu’on passe de l’autre côté ! On se rend compte que ce monde n’a rien de tangible. On peut passer à travers lui et se rendre n’importe où ! On s’aperçoit que la lumière et les couleurs y sont aussi bien fades, alors qu’on les trouvait si belles. Deuxième croyance qui s’éteint à tout jamais ; la matière n’est pas aussi compacte qu’on le croyait !

 

Troisième croyance : l’être humain est ce corps qui souffre ou qui rit. Cet être qui naît, grandit, puis s’étiole, pour finir par mourir. L’être humain subit toutes les influences extérieures ; il est victime des autres, de la nature, de soi. Il aime aussi régenter, avoir le contrôle de tout, être persuadé qu’il ne connaît pas tout mais ce qu’il apprend ou découvre est une valeur sûre. L’être humain est le « roi » de la Terre, puisqu’il s’est prouvé – et qu’il a été dit aussi qu’il dominerait tout – qu’il était le seul à pouvoir comprendre ce qui se passe et qu’il pouvait en prendre les rênes. Là, ça va se corser lorsqu’on décède ! Tout va dépendre jusqu’à quel point toutes ces croyances sont en nous.

Ces croyances qui forment un bloc, une entité, qui est le premier personnage, c’est-à-dire l’identité prise par le mental (la pensée du cerveau biologique). En décédant, selon la densité de « vie » de ces croyances en nous, nous réalisons, ou non, ou plus ou moins, que l’être humain est plus que ce qu’il croit être sur Terre. On se rend compte que ce corps biologique qui nous « habille » est bien putrescible, mais qu’il contient aussi en lui une Force inimaginable, une Energie qui n’a pas de nom et que les appareils de mesure ou de détection n’ont toujours pas décelée. Cette Energie, c’est la Vie. Pas le souffle, pas les battements du cœur, ni le sang qui circule. La Vie, pure, puissante, lumineuse, subtile, intouchable, invisible, mais présente. On se rend compte (selon toujours l’intensité de nos vieilles croyances) que nous avions un trésor en nous et que nous l’avons toujours laissé dormir. Nous ne savions pas qu’il était là et nous ne l’avions donc jamais utilisé.

Puis, en allant plus loin dans notre découverte, notre évolution, nous remarquons soudain que notre esprit, notre conscience, notre façon de penser, ne correspond pas du tout à ce que nous croyions. Nous réalisons que notre esprit peut utiliser la pensée et créer grâce à elle, créant du beau ou du laid, selon l’étape de notre évolution. Puis, en allant plus loin encore, nous nous apercevons qu’il existe une autre Pensée, c’est-à-dire, une autre façon de penser. Et là, nous recevons en nous la joie, la paix, et nous « voyons » l’Amour. Nous comprenons que nous sommes Amour, qu’il a toujours été là, présent dans la Vie qui sommeillait dans le corps biologique, et présent dans notre esprit, mais nous l’avions oublié.

Au terme de notre évolution, lorsque nous avons accompli notre réveil (nous sommes sortis du « lit » !), l’être « humain » devient l’être avec ou sans corps (comme il le désire), et un être uni en esprit et en nature, avec le seul Être qui existe, c’est-à-dire notre Parent, sans forme, infini, présent en tout. Nous sommes Lui tout en étant nous, individuellement.

Donc, la troisième croyance s’écroule totalement lorsque nous redevenons nous-mêmes, vrais, réels. L’être humain ne fait qu’emprunter un corps pour pouvoir participer à une histoire sur Terre, lorsqu’il entre sur la scène humaine. Et le véritable être est le véritable maître de la Terre, pas sa copie, qui a du mal à sortir de sa « bulle ».

 

En conclusion, si vous voulez sortir de toutes ces croyances erronées, rappelez-vous qu’elles ne sont vraies en partie que pour le monde où votre esprit est cloisonné. Mais vous n’êtes pas obligés d’y adhérer. Vous reconnaissez qu’elles sont vivantes là où vous êtes puisqu’elles font partie de la « normalité », des normes de votre culture, mais réalisez que ce ne sont pas les vôtres. Elles appartiennent à l’identité du mental, comme par exemple, Nicole Delatour, F., A., S., etc. vont le croire en eux tant que Nicole, F., A., S., etc. croiront au personnage qu’ils représentent sur cette terre. N’y adhérez plus, mais ne faites pas un refus. Cela existe en ce monde, mais ne les prenez pas pour votre pensée. Vous vous êtes uniquement contentés, depuis toujours, d’accepter pour vrai ce que des générations et des générations avant vous ont cru pour vrai, pour la Réalité.

Aujourd’hui vous savez, alors mettez-le en pratique. Mettez un espace entre les idées du personnage du mental et les vôtres, réelles, vivantes.

Vous êtes plus qu’un être humain. Réalisez-le dès maintenant. OK ?

Je vous laisse. J’ai assez parlé ! J’ai « soif » maintenant !! Un p’tit coup pour moi, entre potes… !! J’aime !!

Bisous à vous tous. Soyez heureux, c’est cela votre nature. Pas toute cette misère.

Je vous aime.

A+.

Benoît. »  

 

 

Le brouillard de nos croyances
Le brouillard de nos croyances

 

 

El 14 de noviembre de 2012: la  desintegración de las creencias

 

 

Buenas noches, Benoît. Estoy lista.

 

"Está bien, mamá. Yo también, ¡qué oportuno!

¡Les he parloteado bien ayer con el tema del Amor y con mis preguntas! ¿Cuántos han respondido? ¡Aqui es la cuestion! Ustedes responderéis cuando estaréis listos.

Hoy no voy andar con rodeos, también. ¡Directo, el Beun! ¡Quiero "despertarle"! ¿Está bien? ¡No es complicado de todos modos! Usted va a quitar una por una todas estas creencias que complican su vida y su existencia. ¿Cuáles creencias? ¡Ya puedo oir su pregunta! ¿Y cómo hacer? ¡Ahora que ya le dije lo esencial! Pero soy paciente y le comprendo. He pasado por ello yo también, recuerdo muy bien cómo era y cómo reaccionaba cuando vivía con ustedes, visible. Queremos creer en eso, pero nos sentimos incapaz de entregarse a lo que sentimos real, verdadero. Hay la excitación del conocimiento y el miedo de ir allá. Sé todo eso. Es por eso que soy paciente y que le repito las mismas cosas pero de otra manera.

 

Primera creencia : la muerte, entre otras cosas, la mía. El cerebro biológico se apaga, el cuerpo no late más, no se mueve más. Los ojos permanecen bien cerrados, las palabras no salen más de la boca. ¡Nada! No queda nada, sólo la muerte. Entonces, ¿cómo no creer en eso? Ella está aquí bien de relieve, con todo el dolor que aporta a sus seres queridos. Bueno, la muerte es superficial, sólo en la superficie. Es la primera forma de pensamiento que se extingue, y la primera creencia para el o la que muere. ¡Si la muerte sigue siendo obvia para los "seres vivos", la creencia en su existencia desaparece cuando uno pasa del otro lado! ¡Primera creencia que se apaga para siempre!

 

Segunda creencia : que este mundo muy tangible, muy sonoro y muy caótico es el único mundo existente. ¡Excepto los alienígenas! Sus ojos y sus sentidos perciben sólo su materia, sólo su luz. Entonces, ¡normal que solo haya él! ¡La segunda creencia que no puede resistir esto cuando se pasa por el otro lado! Nos damos cuenta de que este mundo no tiene nada tangible. ¡Podemos pasar a través de él e ir dondequiera! Se percibe que la luz y los colores aquí también son apagados, cuando los encontrábamos tan hermosos. La segunda creencia que desaparece para siempre ; ¡La materia no es tan compacta como creíamos!

 

Tercera creencia : el ser humano es este cuerpo que sufre o que se ríe. Este ser que nace, crece, luego se deteriora, finalmente muere. El ser humano sufre todas las influencias externas ; él es la víctima de los demás, de la naturaleza, de sí mismo. También le gusta dirigir, tener el control de todo, estar convencido de que no sabe todo, pero lo que aprende o descubre es un valor seguro. El ser humano es el "rey" de la Tierra, ya que se ha demostrado - y también ha sido dicho que dominará todo - que era el único que puede comprender lo que está sucediendo y que podía tomar las riendas. ¡Aquí será má difícil cuando se fallece! Puede que todo dependa hasta qué punto estas creencias están dentro de nosotros.

Estas creencias que forman un bloque, una entidad, que es el primer personaje, es decir, la identidad tomada por el mental (el pensamiento del cerebro biológico). Falleciendo, según la densidad de "vida" de estas creencias dentro de nosotros, nos damos cuenta, o no, o más o menos, que el ser humano es más de lo que cree que él es en la Tierra. Nos damos cuenta de que este cuerpo biológico que nos "viste" es muy putrescible, pero que también contiene en él una Fuerza inimaginable, una Energía que no tiene nombre y qué los aparatos de medida o de detección todavía no descubrieron. Esta Energía, es la Vida. No la respiración, no los latidos del corazón, ni la sangre que fluye. La Vida, pura, poderosa, luminosa, sutil, intocable, invisible, pero presente. Nos damos cuenta (siempre según la intensidad de nuestras antiguas creencias) que teníamos un tesoro dentro de nosotros y que siempre lo hemos dejado dormir. No sabíamos que él estaba aquí, así que jamás lo habíamos utilizado.

Luego, yendo más lejos en nuestro descubrimiento, nuestra evolución, observamos de repente que nuestro espíritu, nuestra conciencia, nuestra forma de pensar, no corresponde en absoluto con lo que creíamos. Nos damos cuenta de que nuestro espíritu puede utilizar el pensamiento y crear gracias a él, creando bello o feo, según la etapa de nuestra evolución. Luego, yendo más lejos todavía, nos damos cuenta de que hay otro Pensamiento, es decir, otra forma de pensar. Y aquí recibimos dentro de nosotros la alegría, la paz y "vemos" el Amor. Comprendemos que somos Amor, que siempre ha estado aquí, presente en la Vida que estaba durmiendo en el cuerpo biológico, y presente en nuestro espíritu, pero que lo habíamos olvidado.

Al término de nuestra evolución, cuando hemos cumplido nuestro despertar (¡hemos salido de la "cama"!), el ser "humano" se hace el ser con o sin cuerpo (como él lo desea) y un ser unido en espíritu y en naturaleza, con el único Ser que existe, es decir nuestro Pariente, sin forma, infinito, presente en todo. Somos Él siendo nosotros, individualmente.

Entonces, la tercera creencia se derrumba totalmente cuando volvemos a ser nosotros mismos, verdaderos, reales. El ser humano sólo toma prestado un cuerpo para poder participar en una historia en la Tierra, cuando entra en la escena humana. Y el verdadero ser es el verdadero amo de la Tierra, no su copia, quien tiene problemas para salir de su "burbuja".

 

En conclusión, si ustedes queréis salir de todas estas creencias erróneas, recuerden que sólo son parcialmente ciertas para el mundo en el que su espíritu está fragmentado. Pero ustedes no están obligados de adherir a eso. Ustedes reconocéis que están vivas allí donde ustedes estáis ya que forman parte de la "normalidad", de las normas de su cultura, pero comprendéis que no son suyas. Ellas pertenecen a la identidad del mental, como por ejemplo, Nicole Delatour, F., A., S., etc. van a creerlo en ellos mientras Nicole, F., A., S., etc. creerán en el personaje que representan en esta tierra. No adhiráis a eso más, pero no hagáis un rechazo. Esto existe en este mundo, pero no lo toméis por su pensamiento. Ustedes únicamente se contentaron, desde hace tiempo, con aceptar por verdadero lo que generaciones y generaciones antes de ustedes creyeron por verdadero, por la Realidad.

Hoy lo sabéis, así que póngalo en práctica. Poned un espacio entre las ideas del personaje del mental y las suyas, reales, vivientes.

Sois más que un ser humano. Realícelo a partir de este momento. ¿Vale?

Os dejo. ¡Ya he hablado suficiente! ¡¡Tengo "sed" ahora!! ¡Echar un trago para mí, entre amigos...! ¡¡Me gusta !!

Besitos para ustedes todos. Sed feliz, es esto su naturaleza. No toda esta miseria.

Os quiero.

Hasta+

Benoît. "

 


La niebla de nuestras creencias