11 février 2018 : L’Oubli de l’esprit

 

Bonsoir Benoît.

N. te demande : Nous sommes tous une partie de l’Esprit originel qui est amour. La question est : pourquoi certains d’entre nous décident de faire le mal alors que nous sommes amour ? Benoît m’a dit une partie de la réponse qui est : c’est parce que nous sommes manipulés par notre ego qui est la peur. Est-ce bien ça ?

 

« Je réponds, maman.

Nous ne sommes pas une partie de l’Esprit originel, mais chacun est son Entier.

 

Nous sommes chacun la totalité de l’Esprit Unique.

Nous sommes ses différentes personnalités, ses différentes formes ou sans forme.

 

Oui, l’Esprit est Amour. Pourquoi certains d’entre nous décident de faire le mal ? Parce qu’à votre échelle, au stade où se trouve votre conscience, votre esprit a oublié qui il est Réellement, donc qu’il est Amour et harmonie et Union.

Oui, vous êtes manipulés par l’ego, qui est formé de peur ; c’est la peur que nous avons tous eue à notre Naissance qui l’a créé.

 

L’ego est le mental qui s’est pris une identité.

Le mental est le résultat de l’esprit qui se trompe sur son origine, donc sur sa personnalité, son Être.

 

Certains choisissent de faire du mal, d’autres d’être des victimes de la souffrance, d’autres d’aimer, de posséder, etc. Tout choix provient de l’ego, de l’esprit qui vit dans l’erreur.

La Conscience est la prise d’idées, de croyances, de pensées, d’être, dans le réseau d’un esprit qui vit dans l’erreur, ou bien dans celui qui est beaucoup plus élevé, où les vibrations sont très légères, où l’Amour et son Intelligence s’expriment. Plus votre conscience de ce réseau d’Amour est forte, plus vous exprimez l’Amour et son Union. Le Mal ne peut vous atteindre, et vous DONNEZ l’Amour.

Dans l’Amour n’existe aucune peur et aucun ego. Le mental est alors un outil humain ou biologique, utilisé par l’esprit qui sort de plus en plus de son erreur, pour pouvoir agir et vivre en ce monde fictif mais bien réel.

Compris ?

Bisous à vous tous. J’ai du maille (travail)!

A+.

Benoît ».

 

 

Lorsque la brume...
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