7 février 2017 : Arrêtez-vous !

 

 

« Soufflez ! Arrêtez ! Pourquoi courrez-vous autant, dans votre existence et dans votre tête ?

Soufflez ! Y a tant de choses à voir, à entendre, mais vous n’en avez pas le temps ! Vous mettez le brouillage de la course entre vous et ce qui vous entoure.

Arrêtez ! Regardez bien. Ressentez bien.

N’allez pas que vers le négatif, le laid. Vous avez tant de beauté en vous, autour de vous.

La Nature vous aide à arrêter votre course et tout ce tourbillon de pensées. Les êtres humains aussi. Eh oui ! Pas tous, ça je le conviens ! Je parle bien ! Là, on ne reconnait pas le Beun, « je le conviens » ! Y a du maman dans mes paroles puisque je « pique  » dans sa tête (je pique des mots !). Bon, on continue.

 

Lorsque je vous dis d’arrêter et de souffler, c’est pour que vous puissiez reprendre contact avec vous-même, et aussi avec ce qui vous entoure.

 

Lorsque vous ressentez la solitude, c’est que vous êtes éloignés de « vous », et vous ne vous aimez pas suffisamment pour accepter d’être uniquement avec « vous ».

Ce « vous » a beaucoup à vous apprendre.

En premier, il vous ouvre les yeux parce qu’il éclaircit vos idées et fait un tri en elles.

La course vient de toutes ces paroles, toutes ces images, toutes ces pensées, que vous vous fabriquez ou acceptez de recevoir inconsciemment.

 

Lorsque vous commencez à prendre conscience de cette course qui vous agite – et vous épuise -, vous reprenez conscience de la Vie que vous êtes.

 

En arrêtant l’un, vous permettez à l’autre – ici, la Vie – d’entrer, et d’être perçu. Vous renouez avec « vous », et avec chacun et le Monde.

 

Un silence arrive, chargé de douceur et d’étonnantes révélations. Le silence ou paix de votre esprit permet d’entendre et de voir.

 

Alors, quand est-ce que vous allez arrêter de courir,… et souffler ?

La balle est dans votre camp ! OK ?

Je vous Aime.

A+ et gros bisous.

Beun. »

 

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El 7 de febrero de 2017: ¡Pare!

 

"¡Sople! ¡Pare! ¿Por qué usted corre tanto, en su existencia y en su cabeza?

¡Sople! ¡Tiene ahí tantas cosas que hay que ver, que hay que oír, pero usted no tiene tiempo para eso! Usted pone la interferencia de la carrera entre usted y lo que le rodea.

¡Pare! Mire bien. Siente bien.

No vaya solo hacia el negativo, el feo. Usted tiene tanta belleza en usted, a su alrededor.

La Naturaleza le ayuda a detener su carrera y todo ese torbellino de pensamientos. Los seres humanos también. ¡Sí! No ellos todos, ¡esto lo admito! ¡Qué bien hablo! Ahí, no reconocemos a Beun, ¡"esto lo admito" ! Tiene aquí algo de mamá en mis palabras ya que "robo" en su cabeza (¡robo palabras!). Bueno, continuamos.

 

Cuando le digo de parar y de soplar, es para que usted pudiera volver a conectarse consigo mismo y también con lo que le rodea.

 

Cuando usted siente la soledad, es que usted se ha alejado de "usted", y usted no se ama lo suficiente para aceptar estar únicamente con "usted".

Ese "usted" podría aprender de él.

En primer lugar, le abre los ojos porque aclara sus ideas y hace una selección en ellas.

La carrera proviene de todas esas palabras, todas esas imágenes, todos esos pensamientos, que usted mismo se fabrica o acepta recibir inconscientemente.

 

Cuando usted comienza a tomar conciencia de esta carrera que le agita - y le agota- , usted recobra conciencia de la Vida que usted es.

 

Parando uno, usted permite al otro - aquí, la Vida – de entrar y ser percibido. Usted reanuda con "usted", y con cada uno y con el Mundo.

 

Se produce un silencio, cargado de dulzura y de revelaciones sorprendentes. El silencio o la paz de su espíritu permite entender y ver.

 

Entonces, ¿cuándo va a dejar de correr, ... y tomar un respiro?

¡La decisión es suya! ¿Está bien?

Os Quiero.

Hasta + y besitos grandes.

Beun. "

 

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